Georges Verpraet commence sa carrière de journaliste en 1941 à Compagnon s, périodique du mouvement des Compagnons de France dont il devient rédacteur en chef. Il est ensuite nommé rédacteur en chef du journal Hardi, bulletin mensuel du groupement Mangin de Chantiers de jeunesse . Réfractaire au STO, il entre dans la clandestinité. En 1944, il intègre le quotidien L’Aube pour lequel il couvre la Libération de la France. Il travaille ensuite au Figaro, aux Echos, collabore à La Vie catholique et à Témoignage chrétien. En 1960, il rejoint La Voix du Nord où il est nommé secrétaire général, puis passe à La Croix du Nord . Georges Verpraet milite également dans différents syndicats et associations de journalistes. Parallèlement, proche de l’abbé Pierre, qu’il aida à rédiger son appel du 1 er février 1954, il est l’un des cofondateurs de l’association Emmaüs dont il devient le premier vice-président. Il participe également à la création du Secours d’urgence aux sans-logis. Il est également l’auteur de plusieurs ouvrages dont Paris, capitale souterraine, Métiers et visages de l’information moderne, L’Europe judiciaire ,…