En 1912, Georges Emile Louis Naudin succède à son père à la tête du Petit Calaisien. Propriétaire et gérant du journal ainsi que de l’imprimerie, il doit en 1940 fuir avant l’arrivée des Allemands. Il se réfugie d’abord dans le Loiret, puis à Bergerac où il reste durant toute la durée de la guerre. De retour dans le Pas-de-Calais en 1945, il tente de relancer un nouveau journal, mais, devant la multiplication des obstacles, renonce. Son imprimerie accueille dans un premier temps L’Echo de Calais et Le Réveil de Calais. En 1953, elle est vendue au quotidien Nord littoral.