Ancien instituteur libre, Guibert a été chef d’une institution à Cambrai. On le retrouve «employé à Armentières». Il arrive à Tourcoing en 1883. Il collabore à L’Écho de Tourcoing et à La Croix du Nord jusqu’en 1895. C’est selon la police, un homme calme, se conduisant bien, mais un réactionnaire clérical.