, enseignant
Lors de la dissolution du Parti communiste en 1939, il est révoqué de l’Education nationale et arrêté. A sa libération, en 1940, il s’engage dans le Parti communiste clandestin, il en devient, dans la «zone rouge», responsable ainsi que des Francs tireurs et partisans. Arrêté en mai 1942, il connaît une douzaine de prisons françaises avant d’être déporté à la forteresse de Huy, puis à Sachenhausen et à Buchenwald. Lors de son retour en France en mai 1945, Jean-Marie Fossier devient rédacteur en chef du quotidien communiste Liberté puis directeur de l’imprimerie. En 1960, il réintègre l’Education nationale comme professeur de lettres. Jean-Marie Fossier est élu conseil municipal de Lomme en 1945, 1947 et 1953. Il est candidat lors des élections législatives de 1962 dans la 5 e circonscription du Nord. En 1977, il publie Nord-Pas-de-Calais. Zone interdite. Mai 1940-mai 1945