Breveté imprimeur en juillet 1842, Charles Joseph Adolphe Carpentier prend la succession de la veuve Hurez, installée Grande Place à Cambrai. Il prend l’engagement de ne publier aucun journal politique et L’Echo de Cambrai succède à La Feuille de Cambrai. Quelques années plus tard, passé entre les mains de Charles Pety, ce périodique est présenté par le procureur de la République comme «l’organe du parti socialiste». Il cesse de paraître le 2 décembre 1851.